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Par contre j’aime
chiner, alors je chine, sur les murs de Paris et d’ailleurs, pour trouver des
affiches sauvages, qui ne demandent qu’à être adoptées et domptées …
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Car, qu’est-ce qui est
plus triste qu’une affiche qui finit seule, détrempée, décolorée et en lambeaux
sur un mur ?
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Moi je leur propose
une seconde vie, de retrouver certaines de leurs congénères (françaises et
anglaises) et de participer, ainsi associées, à un message commun. Non
seulement elles ont une seconde vie, mais ensemble elles suscitent des choses
dans la tête des gens, qu’elles ignoraient elles-mêmes juste avant.
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Voir la vidéo sur Facebook (publiée le 6 décembre)
Chaque création
raconte une histoire différente et pleine de sens, pas forcément unique, qui ne
doit rien au hasard. Une histoire avec parfois des « bouts » de vécu
personnel …
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